Retrouvez ici toutes mes réflexions approfondies sur la recherche en biodiversité, les pratiques écologiques, la gestion durable des ressources, et bien plus encore, classées par ordre chronologique.
Face à l'érosion de la biodiversité, les relevés naturalistes permettent de mieux connaître, surveiller et protéger les espèces et leurs habitats. Pourtant, leur importance reste souvent méconnue en dehors des cercles scientifiques.
Les Systèmes d’Information Géographique (SIG) sont aujourd’hui des outils incontournables en écologie et gestion de la biodiversité. Ils permettent de collecter, stocker, analyser et visualiser des données spatiales variées. Mais quels outils SIG existent et comment les utiliser efficacement pour étudier et protéger la biodiversité ?
Comment une observation devient utile, fiable ou exploitable? Il faut les transformer au fur et à mesure en connaissances utiles à la conservation ou la recherche.
Les corridors écologiques jouent un rôle crucial dans la conservation de la biodiversité en permettant aux espèces de se déplacer entre habitats fragmentés. Cartographier ces corridors est essentiel pour planifier leur protection et leur restauration.
Les cartes d’occupation du sol et de connectivité écologique sont des outils essentiels pour comprendre la structure des paysages et leur capacité à soutenir la biodiversité. Savoir lire et interpréter ces cartes est indispensable pour identifier les zones protégées, les corridors écologiques, et les menaces qui pèsent sur les habitats naturels.
Les Systèmes d’Information Géographique (SIG) sont incontournables en écologie et dans la gestion de la biodiversité. Ils permettent de collecter, stocker, analyser et visualiser des données spatiales variées. Mais quels outils SIG existent, comment les utiliser efficacement?
Avec la multiplication des sources de données environnementales (images satellites, capteurs automatiques, bases de données naturalistes, applications mobiles), le concept de Big Data s’impose désormais dans l’étude de la biodiversité. Cette masse énorme d’informations offre des opportunités inédites pour mieux comprendre, suivre et préserver les écosystèmes. Cependant, elle soulève aussi des défis et limites qu’il est important de connaître.
Les données naturalistes sont précieuses pour comprendre la biodiversité et guider les actions de conservation. Mais les interpréter peut comporter des pièges, une mauvaise lecture des résultats peut amener à des conclusions erronées.
La fragmentation des milieux naturels est l’un des principaux facteurs de recul de la biodiversité. Les corridors écologiques entrent en jeu relient les zones naturelles entre elles. Se pose la question de leur identification, de leur cartographie et de leur intégration dans l’aménagement du territoire.
Dans le domaine de l’écologie, les Systèmes d’Information Géographique (SIG) sont devenus incontournables. Ils permettent de croiser des données spatiales, de visualiser des tendances et d’orienter des décisions concrètes pour la préservation de la biodiversité.
Le métier de naturaliste est en perpétuelle évolution. En 2025, les outils du terrain ont considérablement changé par rapport à ceux d’il y a dix ans, quels sont les indispensables du naturaliste moderne ?
Pour protéger le vivant il faut le connaître. Les inventaires naturaliste de terrain le font. Voici les étapes clés d’un inventaire naturaliste, de la préparation à l’analyse.
Le Papangue est le dernier rapace diurne nicheur de La Réunion où il est désormais endémique. Autrefois présent à Maurice, il y a disparu. Appartenant à la famille des Accipitridés, il a un rôle important dans l’équilibre des écosystèmes locaux. La population est estimée à moins de 250 couples reproducteurs.
L’Echenilleur de La Réunion, également appelé Tuit-tuit, est un oiseau endémique des forêts tropicales humides de La Réunion. Cet oiseau rare et discret appartient à la famille des Campephagides. Sa population estimée à moins de 30 couples reproducteurs concentrés dans le Massif de La Roche Ecrite.
Le Pétrel de Barau est un oiseau marin endémique de l’île de La Réunion. Ce Procellaridé pélagique passe l’essentiel de sa vie en mer. Il ne revient à terre que pour se reproduire dans les hauteurs du massif du Piton des Neiges et du Grand Bénare.
Le Pétrel noir de Bourbon est un oiseau marin extrêmement rare endémique de La Réunion, où il est à l’origine de certaines superstitions. Redécouvert dans les années 1970. Il est encore très peu connu avec une population estimée à moins de 50 couples nicheurs. La reproduction de cet oiseau marin est restée un mystère jusqu’à 2016 où un nid actif a été découvert dans la Rivière des Remparts.